lbum hotos de St Léger

 

Tous les documents qui suivent proviennent du livre "St Léger à l'ombre des Templiers", de Pierre Bachy, excellent ouvrage de 500 pages daté de 1988.
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Ce berger sympathique, à la barbe fleurie, qui semble sortir de la nuit des temps, n'est pas un personnage de légende.
Non : Jean-Baptiste Houzé a réellement existé à St Léger où il est né le 19 mai 1817.
De père en fils, dans cette famille, on était berger. Jean-Baptiste le fut aussi.
Il épousa Louison Delplanque, de Warcoing, et en eut plusieurs enfants.
L'une de ses filles, Marie, née en 1855, épousa Adolphe Laebens.

 

 

la ferme du Temple et l'église en 1884

 

 

le moulin de St-Léger

Le moulin de Saint-Léger, qui se trouvait sur la route de Pecq à 50 m de la ferme Duthoit, fut construit en 1755. Culbuté par un ouragan en 1800, relevé l'année suivante, il fut incendié par la foudre en 1891 pour disparaître définitivement. Cette photo a été prise peu avant. Le meunier s'appelait Alphonse Laebens.
Les moulins représentaient jusqu'à l'aube du 19e s. la seule source d'énergie abordable par les ruraux. Ils étaient typiques du paysage tournaisien. Ils étaient en bois et montés sur pivot.
Un autre moulin remplaça celui-ci. Outre la force éolienne, la meunerie était actionnée par un moteur à vapeur. Il fut démoli en 1905.

 

 

Cette photo a été prise en 1916 à Moorsele, près de Wevelgem.
Il s'agit d'un groupe de déportés de St Léger, sauf un réfugié qui habitait rue Royale durant la guerre 14-18.
On reconnaît de gauche à droite :
debout : René Deroubaix, Emile Hannon, Emile Derouck, un réfugié, Etienne Fermont, Louis Callens, Arthur Foulon et Emile Vermaut
assis : Charles Kimpe, Henri Belin, Hectot Vandoorne et Gustave Vermaut.

 

 

Vers la fin de la guerre 14-18, une centaine d'hommes valides de St Léger et des environs furent réquisitionnés par les Allemands pour niveler avec pelles et brouettes le champ en face actuellement de la ferme Claude Duthoit, en vue d'y établir une plaine d'aviation en appoint avec le champ d'aviation de Pecq.
De gauche à droite :
1er rang : Henri Straete, Arthur Foulon, X, 2 gardiens allemands, X, Marcel Vermaut, Maurice Hocedez
2e rang ;: X, X, Henri Lecomte, Auguste Delplanque, Louis Callens, X, X, X, X, René Ecrepont, X, X, Robert Turpin, Emile Hanno
 

 

 

la Société d'art dramatique en 1926 : "La St Légérienne"

De gauche à droite :
1er rang : Agnès Hocedez, Ernest Seynaeve, Maurice Hodecez, Charles Duthoit, Edgard Duthoit, Sylvère Hodecez, Rachelle Vergote, Jérôme Valcke, Léon Decourcelle, Marthe Depoortere
2e rang : Denise Vergote, Charles Noterdeam, Odile Vergote, Raymond Noterdeam, Georges Beckaert, Edouard Lambrecq, Lisa Noterdeam, Emile Duthoit, Louis Monard
 

 

 

la ferme du Petit Voisinage - Henry et Gabriel Nys

 

 

Un avion allié fut abattu durant la seconde guerre mondiale au-dessus de St Léger. Trois aviateurs furent récupérés par Dupuis et Lucien Boudrenghien. Ils furent tous trois logés dans la sacristie de gauche de l'église par l'abbé Guissard.
Roger Vandevelde, Roger Wittouck, Frans Vandemeulebroecke, Maurice Kint, un Américain, Joseph Dekoster, Barbieux, un Anglais, Simone Kint, un Anglais

 

 

 les prisonniers de guerre 1940-1945

G. Balkaen, Jules Belin, V. Brouck, A. Bruyneel, R. Decock, L. Decourcelle, G. Detavernier, E. Dillies, H. Hanno, Albert Hellin, G. Honoré, Arthur Kint, Albert Martin, G. Valcke, H. Vandenhemel, C. Vandevelde, O. Vandevelde, J. Vandorpe, F. Vergeynst (au centre Emile Dillies)

 

 

1945 - le match de la Libération

C'est le 1er match de foot entre les prisonniers rentrés de captivité et une équipe de Saint-Léger (terrain Duthoit).
De gauche à droite : Emile Dillies, Albert Bouderenghien, Henri Vandenhemel, Victor Brouck, Marcel Hubaut (arbitre).

 

 

la Sainte-Cécile de la fanfare de Saint-Léger en 1972

De gauche à droite :
1er rang : Bernard Vansteenbrugge, Christian Fouret, Alexandre Beynes, Albert Kint, Gérard Debue, Albert Pisson, Edouard Elekan père
2e rang : Albert Vandoorne, Emile Leriche, Pierre Ottevaere, Roger Lambreth, Joseph Nélis, Georges Clarisse, Roger Debue, Lucien Charlet, Gérard Coquerelle, André Valcke, Oscar Renard, Michel Devies, Daniel Prévost, Charles Laniont, Léonard Desmet

 

 

le volley-club de St Léger en 1975-1976

De gauche à droite :
accroupis : Roland Vansaingele, Jean-Marie Coudoux, André Vansaingele, Marcel Vanhoutte
debout : Raimond Baas, Freddy Werbrouck, Pierre D'Hondt, Robert Vandamme

 

 

la compagnie théâtrale "Les Bons Amis" en 1981 dans "Moumou"

De gauche à droite :
1er rang : Andrée Durieu, Agnès Hocedez, Paule Deregnancourt, Véronique Millecamps
2e rang : Omer Bourgois, Alcide Coudoux, Albert Farvacques, Daniel Senesael, Arsène Cossement (échevin), Patrick Van Honacker (bourgmestre), Marcel Hubaut

 

 

Cette demeure, appelée anciennement café de la Tranquillité, l'une des plus anciennes de la commune, fut le refuge de religieuses chassées de leur pays lors de la Révolution Française.
Par la suite, la famille Lambert offrit sa propriété aux réfugiées et l'ordre de St Charles s'installa dans le village que les soeurs quitteront pour aller à Dottignies.
Longtemps après, ce local devint le siège du parti libéral et d'une fanfare.
En temps de ducasse, on y donnait des bals très suivis à l'étage.
Durant la dernière guerre, cette maison habitée par la famille Mincke-Briest et leur fille, Hélène, fut le siège d'un groupement de résistants très actifs.
A remarquer la datation par ancres d'un rare corps de logis à deux niveaux.

 

 

la restauration du clocher - photo d'octobre 1987

 

 

le corps de logis actuel de la ferme du Temple

Le volume primitif est conservé à gauche sur deux travées. L'étage fut détruit sur une longueur de six travées, en 1764, comme l'indique le millésime sur la toiture. A noter le clocheton destiné à scander l'heure des repas.

 

  

 

 

 

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