Hiro-Hito devient empereur du Japon.

Staline l'emporte sur Zinoviev et Trotsky.

"Le Figaro" a 100 ans.

Tennis : à New-York, René Lacoste devient champion des Etats-Unis face à Jean Borotra.

"Métropolis" de Fritz Lang et "Nana" de Jean Renoir ; décès de Rudolph Valentino.

 

 

L'école privée en 1926 - cliquez sur l'image pour agrandir

 

 

Marie-Louise Guillemineau, notre "Lilise" Marzin, a retrouvé les noms de jeunes filles.

La tuberculose, ce fléau qui a sévi jusqu'après la 2ème guerre mondiale, a emporté plusieurs de ces filles.

 

A cette époque, la rue de la Forge était "le chemin de chez Guillemineau", et la rue des Dames "le chemin des Bonnes Sœurs".

On se moquait un peu des sœurs sécularisées (en civil), en les appelant, sans le leur dire ! "sécu-naturalisées".

 

en haut : Georgette Durand / Thérèse Coulonnier / ? Brosseau / Georgette Guillemineau / Germaine Brosseau / Suzanne Naud / Marie-Josèphe Lefort / Germaine Cailleau

au-dessous : Maurice Durand, de passage ! / Marie-Josèphe Jaud / Germaine Thomas / Geneviève Tricoire / Paulette Benéteau / Marie-Josèphe Métayer / Marie-Josèphe Migniau / Aline Godineau / Simone Lefort / Emilie Dugas (Sœur Marie-Ernest sécularisée)

au-dessous : Marcelle Seguin / Hélène Héon / Marcelle Noury / Marie-Renée Loger / sa sœur Eugénie / Marie-Thérèse Jadeau / Yvonne Chupin / Marie-Louise Poirier / Georgette Boisdron

assises : Marie-Josèphe Lefort / Madeleine Durand / Louisette Hy / Jeanne Caro / Florestine Biotteau / Marie-Louise Guillemineau / Madeleine Jadeau / sa sœur Paulette Jadeau / Thérèse Cailleau

 


Marie-Louise Guillemineau

"Quelqu'un m'a dit ce midi. Maintenant, j'ai pas très faim du tout et je mange pas très.
Alors ma copine est partie au Paradis hier soir ?
C'est sûrement une bonne chose : ce doit être chouette, le Paradis !
Lilise y aura retrouvé - entre autres - Jean-Paul II, "le gamin" (qu'elle l'appelait), né le 18 mai 1920, un jour après elle.
Elle me faisait rire avec ça. En vrai, elle me faisait rire toujours, c'est une bonne chose.
Aujourd'hui un peu moins, mais c'est passager. C'est juste passager."

Christophe, webmaster triste, le 7 juin 2011

 

 

 

 

Une petite croix, nous l'avons dit, était située à l'emplacement de l'école construite par la commune du May en 1855.

Le nom de l'Impasse de la Croix évoque son souvenir. Elle fut démolie lors des travaux de construction du bâtiment.

Pour la remplacer, dès 1855, on fit élever ce grand calvaire, sur la route du May également, pratiquement en face la supérette actuelle. Le grand portail était en fer forgé, et 2 escaliers, entourés de 12 colonnes représentant les 12 apôtres, montaient en demi-cercle.

Au fond, l'autel sur lequel était érigée une grande croix de 4 à 5 mètres de haut, en bois, où reposait un Christ.

Durant la Mission de 1936, la croix en bois, nous le verrons, sera reconstruite en ciment.

 

 

St Léger à l'aube des années 30

 

 

 

 

 

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