les coiffes

 

Depuis fort longtemps et jusque vers les années d'après guerre, la coiffe faisait partie de la vie des femmes et des fillettes. Différentes selon les régions, celles portées chez nous sont surtout des coiffes angevines. Il existait bien la coiffe choletaise, en sabot et à rubans plats, mais elle était peu portée, supplantée par la coiffe angevine, beaucoup plus élégante et portant le nom poétique d'ailes de pigeons. Le métier de lingère était alors florissant. Selon son repassage et son empesage, elle se présentait avec de la dentelle sur le front et toute tuyautée, ou à quatre plis repassés plats sur le côté. Elle fut abandonnée, par les jeunes d'abord, puis disparut définitivement dans les années 60.

 

 

vers 1900 - des jumeaux

devant : Philomène Godier, née Chauvière le 3 avril 1854 au Chiron / son mari, François Godier, né le 24 janvier 1851 à la Vacherie, jumeau de Célestine Chauvière née Godier, sa voisine sur la photo / Pierre Chauvière, mari de Célestine, né le 15 janvier 1839 au Chiron
derrière : Marie, née le 16 octobre 1883, et François, enfants des Godier / Marie, née le 28 mars 1875, Pierre, né le 5 août 1877, et Marguerite, née le 5 mars 1880, enfants des Chauvière

 

 

vers 1940 - coiffe

Marie Brin, ancienne bonne du curé Humeau

 

 

vers 1940 encore

Marie Brin et Joséphine Guillemineau, cuisinières à domicile

 

 

vers 1943 - la famille Boisdron à la Coudraie

derrière : Noëlle Chupin / Germaine Baudry / Joséphine Baudry / Germaine Chupin
devant : Joseph Boisdron / Chantal Boisdron / Jean Boisdron

 

 

1956 - coiffes

Anasthasie Botton et Françoise Supiot

 

 

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