27 juin 2014 - pique-nique des Amis de Léo au boulodrome

 

 

mi-août 2014 - le cirque au village

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

mi-août 2014 - le nouveau quartier en construction, près de l'ancienne gare

 

 


 

 

20 septembre 2014 - inauguration du pont du Petit Anjou et de l'arceau du Passage de la Gare

 

Jean-Paul Olivarès, maire, coupe le ruban, en présence des jeunes du conseil municipal d'enfants.

 

 

Mesdames, Messieurs,
Je voudrais en quelques mots féliciter chaleureusement l'ami Maurice, qui a porté ce projet du petit pont de bout en bout, avec opiniâtreté.
Il a dans le désordre récupéré, taillé, ciselé, buriné, assemblé, coffré, terrassé, bétonné, habillé, réglé, nettoyé, enroché, j'en oublie évidemment, et ceci avec de précieux aides de camp des Amis de Léo.
Je pense à Louis, je pense à Michel, malheureusement absent aujourd'hui, je pense à Pierre, je pense à d'autres.
Il ne faut surtout pas oublier les employés municipaux, qui ont donné de sérieux coups de main.
C'est bien mieux que des coups de pied !
Merci aux municipalités, l'ancienne et la nouvelle, qui ont bien voulu nous soutenir et nous accompagner.
Je laisse la parole à Maurice qui a peut-être quelques mots à nous dire.

 

 

... et Maurice parle de la Bifaumoine, de l'ancienne mairie-école, du granit rose de Saint Macaire...

page spéciale sur l'histoire de ce petit pont ici

 

 

 

 

de gauche à droite : Monique / Madeleine / Annick / Jacqueline

 

 

Nous voici maintenant arrivés à l'ancienne gare du Petit Anjou.

 

 

au fond, la petite gare

 

 

Le ruban est coupé.

 

 

Mesdames, Messieurs,
Je voudrais en quelques mots féliciter chaleureusement l'ami Daniel, qui a porté ce projet de l'arceau de la gare de bout en bout, avec opiniâtreté.
Il a dans le désordre pensé, dessiné, proposé, retouché, usiné, peint, testé, posé, déposé, reposé, j'en oublie évidemment, et ceci avec de précieux aides de camp des Amis de Léo.
Je pense à Michel, malheureusement absent aujourd'hui, je pense à Maurice, je pense à Louis, je pense à d'autres.
Il ne faut surtout pas oublier les employés municipaux, qui ont donné de sérieux coups de main.
C'est mieux que des coups de pied !
Merci aux municipalités, l'ancienne et la nouvelle, qui ont bien voulu nous soutenir et nous accompagner.
Je laisse la parole à Daniel qui a peut-être quelques mots à nous dire.

 

 

... et Daniel de raconter le pourquoi et l'historique de l'arceau.

 

 

On se retrouve autour d'un pot.

 

 

les 6 jeunes du CME présents ce matin-là : Alaïs / Alexane / Mélissa / Maëwenn / Elisa et Nicolas

 

 

 

 

 

 

Louis / Joseph / Maurice

 

 

 

 


 

 

21 septembre 2014 - présentation à la municipalité du projet de Circuit du Patrimoine

 

départ à 9h30 devant la mairie

 

 

Les associations saint-légeoises qui le désiraient étaient également conviées.  

 

 

Mesdames, Messieurs,
L'un des buts de l'association des Amis de Léo que j'ai le plaisir de co-présider est de promouvoir le patrimoine local à travers sa mémoire, et la remise en état éventuel de son patrimoine immobilier. C'est ce que nous avons tenté de faire depuis plusieurs années avec la gare du Petit Anjou, bâtiment communal. De la même façon, hier a eu lieu l'inauguration du pont du Petit Anjou et de l'arceau de la gare, deux réalisations récentes des Amis de Léo que nous vous proposons de voir ce matin.
Nous avons voulu aujourd'hui 21 septembre, pour la Journée du Patrimoine, vous présenter l'ébauche d'un éventuel futur circuit du patrimoine saint-légeois. Il s'agit d'un parcours composé de 11 étapes, de 3 km environ au total, qui recense l'ensemble du relativement maigre patrimoine du bourg uniquement. Nous allons le faire dans un ordre précis ce jour, mais cet ordre n'a rien de chronologique. Nous n'avons pas eu le temps d'inclure dans chacun des panneaux, en bas à droite, un mini-plan du bourg avec 11 points représentant les 11 étapes et, d'une couleur différente, l'étape concernée.
Vous découvrirez, au fur et à mesure, les "brouillons" des 11 panneaux que nous avons pour l'instant préparés. Un cahier vous attendra lors du pot final pour noter vos observations. Surtout n'hésitez pas à écrire ! Les Amis de Léo se réuniront tout au long de l'année à venir pour peaufiner leur travail et proposer l'an prochain à la population entière, à la même date, une version aboutie.
L'idée serait, in fine, que ce projet de circuit devienne un jour prochain, en accord et collaboration avec la municipalité bien sûr, réalité, avec de vrais jolis panneaux en lieu et place de ceux, de bric et de broc, que vous allez rencontrer ce matin.
Nous vous souhaitons une très agréable matinée à cheminer avec nous dans Saint Léger.
Je remercie tous les Amis de Léo présents et je laisse la parole à Maurice, puis tout à l'heure à Jeanne et Daniel, qui tour à tour vous parleront.

 

 

Maurice présente le 1er panneau, sur la mairie bien sûr, puis il est question d'une légende...

La légende de la tour des amants

Le manoir du Landreau abrite depuis 1988 la mairie. Il a été construit au 17e siècle. C'est un logis remarquable avec sa grosse tour ronde. La plupart des fermes environnantes ont appartenu aux familles nobles qui s'y sont succédé. La Seigneurie du Landreau dépendait de la Baronnie de Mortagne.
Au 19e siècle, le manoir est remanié et, accolée à la grosse tour, une petite tour octogonale gothique est construite. Très étroite, en brique, on y accède par une petite porte donnant sur le parc, à l'arrière. Une fois cette porte franchie, l'on ne peut qu'emprunter un escalier en colimaçon qui conduit, au premier étage, à l'unique pièce de la tour principale : une petite chambre discrète. Cela laissait à l'occupante toute latitude pour y recevoir son ou ses amants. La rumeur publique a tôt fait de s'emparer de l'affaire : vrai ou légende ?

 

 

Jeanne, devant le puits de la Ferronnière, nous parle de l'eau à St Léger.
Elle n'arrivera au robinet qu'en 1967.

 

 

 

 

A l'étang, il est question de l'ancien bateau-lavoir et de l'ancien lavoir.

 

 

Devant la Bâtisse, Maurice parle de l'architecture d'influence italienne.

 

 

A la gare, Daniel évoque le Petit Anjou, qui a fonctionné ici de 1899 à 1948.

 

 

Dans le chantier voisin, on distingue le ballast, lit de pierres sur lequel reposait la voie.

 

 

Carrefour du centre-bourg : la croix du mur de l'ancien cimetière est installée ici depuis 1970.

 

 

la maison de tisserand, non loin de l'ancien presbytère

 

 

La légende de la binette

En 1898 paraît-il, Jean-Baptiste Usureau, garde champêtre, nettoie les allées du cimetière.
Il casse le manche de la binette : "Nom de Dieu !!!" De colère et avec force, il lance l'outil qui va se loger en face, dans le mur du presbytère distant d'une trentaine de mètres.
L'empreinte profonde est toujours visible aujourd'hui.

 

 

L'église

De style ogival en croix latine, avec clocher à flèche d'ardoise, elle a été inaugurée en 1863, en remplacement de l'ancienne chapelle située au vieux bourg qui fut détruite par la suite.
A la Toussaint 1915, la foudre tombe sur le clocher et le détruit. Rapidement reconstruit, il est à nouveau, en 1922, frappé par la foudre qui cause quelques dégâts à la toiture et aux murs.
A découvrir à l'intérieur : les vitraux de saint Léger, de la Vierge, l'apparition du Sacré-Cœur à Marguerite Marie Alacoque, les deux rosaces de la Vierge et Joseph, les 10 clefs de voûtes, une statue en chêne de saint Léger (1996).

 

 

 

Merci de fermer l'agrandissement sinon

 

 

 

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