Cérémonie à Saint-Léger-Triey
Hommage au résistant Théo Gonzales

 

31 juillet 2012

Comme chaque année, une cérémonie-souvenir s'est déroulée au pont Bourdin afin de rendre hommage au résistant Théo Gonzales, en présence de 21 drapeaux, de Nathalie Joly, présidente départementale du Souvenir de la résistance, de Joël Abbey, conseiller général, des maires du canton et des présidents d'associations d'anciens combattants locales.


21 drapeaux entouraient de nombreuses personnalités locales et départementales
(photo Geneviève Odier)

Dans son discours, Nathalie Joly a fait lecture du témoignage rédigé par Maurice Descousses : "Le 25 juillet 1944, vers 8 heures, tombait sur cette route le franc-tireur Fernando, victime du devoir. Il appartenait à la compagnie Pierre Semard des francs-tireurs et partisans français en maquis en forêt de Longchamp. Fernando était le nom de guerre de Théo Gonzales, né en Espagne le 5 août 1920. Il a été inhumé "inconnu" le 25 juillet 1944, au cimetière de Saint-Léger-Triey, par le maire et quelques villageois. Il fut exhumé après la guerre et il repose dans son village natal." Il est essentiel de montrer aux générations d'aujourd'hui le sacrifice de héros anonymes dont les livres d'histoire ne parleront pas.


 

 

La municipalité reçoit les nouveaux habitants

 

8 février 2007

Pour la première fois, le maire Gérard Picci et son conseil municipal ont décidé d'organiser une rencontre entre les nouveaux et les anciens habitants de la commune.
En 1999, la commune comptait 145 habitants ; depuis, de nouvelles constructions ont vu le jour et avec elles sont arrivés de jeunes couples et des enfants.
Pour 2007, la population a augmenté de plus de 30 %.

Une partie des nouveaux habitants et le maire Gérard Picci
(photo Geneviève Odier)

C'est pourquoi, samedi matin, le maire a remercié les nouveaux habitants de participer à cette réception et il a invité les anciens à aller au devant des nouveaux habitants.

© Le Bien Public


   
 

Jeunes et aînés invités par la municipalité

 

28 décembre 2006

La municipalité avait invité tous les enfants de la commune de moins de douze ans et les aînés à l'occasion des fêtes de fin d'année.
Trente-deux enfants, âgés de 0 à 12 ans, ont reçu leur cadeau de Noël et des friandises, et quinze aînés, de 70ans et plus, leur panier de Noël.

Les enfants fêtent Noël.
(photo Geneviève Odier)

Un goûter a été offert par la mairie et le maire, Gérard Picci, a remercié les parents qui ont confectionné des gâteaux pour cet après-midi récréatif.

© Le Bien Public


   
 

La médaille communale à André Geay

 

18 novembre 2006

André Geay est né le 1er novembre 1916, le jour où l'on fête tous les saints. Serait-ce à la fois un heureux présage et la raison de son caractère ?
Beaucoup d'habitants de Saint-Léger connaissent bien son humour, son dynamisme, sa vitalité d'esprit légendaire et son charisme. Certains se rappellent avec quelle ténacité et quel perfectionnisme André Geay participait au marquage du bois, prolongeant parfois le travail jusque tard dans la nuit avec ses amis.
Le 30 mai 1939, il épouse Marguerite, disparue il y a plus de deux ans ; le couple a eu une fille et cinq garçons. André Geay a été conseiller municipal pendant plus de vingt ans et maire de 1968 à 1977. Dernièrement, il demandait à un ami : « Dis-moi, toi qui sais des choses... à quel âge on devient vieux ? »

André Geay entouré de ses enfants
(photo Geneviève Odier)

Le maire Gérard Picci, au nom de la commune, a tenu à le mettre à l'honneur pour ses 90 ans et pour tous les services rendus en lui remettant la médaille communale.

© Le Bien Public


 

 
 

Les habitants informés sur les risques majeurs

 

16 novembre 2006

Les habitants de la commune ont été invités à une réunion publique à la salle des fêtes. Cette réunion avait pour but de les informer sur les risques majeurs et les moyens de lutte mis en place. Les risques majeurs peuvent être de plusieurs types (explosion, incendie, risque chimique, inondation, canicule, tempête, tornade, accident de circulation...) et il faut savoir que sur le canton de Pontailler, deux entreprises sont classées SEVESO 2, Nobel et Titanite. Chaque habitant a reçu la brochure sur les accidents industriels majeurs et un plan d'urgence a été mis sur pied par le Préfet.

Le maire Gérard Picci a présenté le PPI (plan particulier d'intervention) réalisé par la préfecture. Ensuite, il a présenté le PCS (plan communal de sauvegarde) réalisé par la commune qui a besoin de la liste du matériel pouvant s'avérer utile (tracteur, tronçonneuse...) et de la disponibilité de chacun. Le maire espère que les volontaires seront nombreux à s'inscrire en mairie, afin que ce plan soit opérationnel dès le premier semestre 2007. En terminant cette réunion, il a rappelé que le document d'information contre les risques majeurs sera distribué à tous les foyers d'ici la fin de l'année.

le maire, Gérard Picci

© Le Bien Public


   
 

De futurs artistes

 

10 novembre 2006

La communauté de communes propose chaque semaine des ateliers pour les enfants. L'atelier arts plastiques se déroule à Saint-Léger-Triey tous les mardis, de 17h15 à 18h45. Les enfants de 5 à 12 ans peuvent y pratiquer non seulement le dessin et la peinture, mais aussi du modelage, de la sculpture ou encore du collage et du travail sur le volume.
L'atelier théâtre a lieu le mardi soir à la communauté de communes à Pontailler-sur-Saône. Il s'adresse aux enfants de 6 à 16 ans. Les enfants peuvent s'exprimer à partir d'exercices et de textes amusants.

L'atelier arts plastiques fonctionne tous les mardis.
(photo Geneviève Odier)

© Le Bien Public


   
 

A Saint-Léger-Triey

 

23 décembre 2005

Samedi après-midi, la municipalité de Saint-Léger-Triey, Petit-Triey, a invité les enfants, leurs parents et les aînés à un après-midi goûter à la salle des fêtes. La commune compte 34 enfants de moins de 12 ans et 13 aînés de 70 ans et plus. Cadeaux et friandises ont été distribués par le Père Noël. Quelques habitants avaient confectionné des gâteaux.

Une partie des enfants entoure le Père Noël.
(photo Geneviève Odier)

© Le Bien Public


 
 

Enfants et aînés à la fête

 

23 décembre 2004

Samedi après-midi, la municipalité avait invité tous les enfants de la commune ainsi que les aînés à un après-midi récréatif.
Après un petit film offert aux plus jeunes, le Père Noël est enfin arrivé pour offrir des cadeaux et des friandises aux 31 enfants âgés de 0 à 12 ans.

Les jeunes du village posent avec le Père Noël
(photo Geneviève Odier)

Treize aînés de plus de 70 ans ont reçu également un petit colis.
Le goûter offert aux participants a été réalisé par la municipalité et des bénévoles.

© Le Bien Public


 

 

Pont Bourdin : pour ne pas oublier

 

27 juillet 2004

Samedi matin, une cérémonie du souvenir s'est déroulée au Pont Bourdin, situé sur la commune de Saint-Léger-Triey, devant la stèle de Théodore Gonzalès, jeune Espagnol tué lors des combats qui se sont déroulés à cet endroit il y a soixante ans.

Vingt-et-un drapeaux étaient présents à cette cérémonie du souvenir
(photo Geneviève Odier)

Nathalie Joly, présidente de l'Association du Souvenir de la Résistance, a lu une allocution rappelant qu'il ne fallait pas oublier tous ceux qui se sont engagés dans cette lutte. Beaucoup ont disparu dans les maquis, les prisons ou les camps et, pour les enfants et petits-enfants qui n'ont pas connu tout cela, rendre hommage à ces combattants est nécessaire. Après le dépôt des gerbes, les autorités présentes ont salué les 21 drapeaux présents à cette cérémonie. Assistaient à cette cérémonie Joël Abbey, conseiller général, de nombreux maires du canton, des présidents des associations patriotiques et de nombreux amis et population.

© Le Bien Public


 

 

La municipalité gâte enfants et aînés

 

19 décembre 2003

La municipalité avait invité samedi après-midi, tous les enfants du village et leurs parents afin de passer un moment ensemble à l'occasion des fêtes de fin d'année. La commune a gâté quarante enfants, âgés de 0 à 12 ans, en leur remettant cadeaux et friandises.

Quarante enfants ont reçu cadeaux et friandises
(photo Geneviève Odier)

Les aînés n'ont pas été oubliés et 13 colis ont été offerts aux plus de 70 ans de la commune. Un goûter préparé par des bénévoles a terminé cette journée.

© Le Bien Public


 

 

La rue de Labarre se refait une beauté...

 

Jeudi 17 juillet 2003

Le conseil municipal avait inscrit lors d'une réunion les travaux de réfection rue de Labarre afin de mettre en sécurité les écoliers.

Des trottoirs avec pose de bordures côté école ont été réalisés. La réfection de la chaussée sera également bientôt réalisée.

trottoirs avec pose de bordures côté école et réfection de la chaussée
(photo Geneviève Odier)

A noter : Le maire rappelle que la circulation dans les rues de Saint Léger Triey est limitée à 30 km/h.

© Le Bien Public


 

 

Samedi, 21h 21... La Côte d'Or s'est fait très peur !

 

Lundi 24 février 2003

La terre a bien tremblé, samedi soir, à Dijon et Chenôve, ainsi que dans d'autres lieux du département avec une moindre intensité. La côte dijonnaise étant calcaire et plutôt compacte, l'onde de choc dont l'épicentre se situait près de Saint-Dié, dans les Vosges, s'est bien propagée.

Le séisme a atteint 5,4 sur l'échelle de Richter, à 10 km de profondeur. La secousse a été ressentie sur une quarantaine de départements, d'autant plus fortement que l'on habitait en hauteur.

Dès le début des phénomènes, incompréhensibles si l'on n'en possédait pas la clé, tous les standards des services de secours ont été saturés : sapeurs-pompiers, police nationale, gendarmes, mais aussi les lignes téléphoniques de notre quotidien. Tous les gens demandaient à être rassurés, et un début de panique avait saisi les habitants de l'agglomération en particulier.

La population est souvent descendue dans la rue : l'onde sismique a provoqué des phénomènes impressionnants, plus on habitait dans les étages supérieurs. Les policiers en patrouille ont reçu comme mission de rassurer les gens.

L'émotion était encore vive hier matin (et même dans la soirée) et des habitants appelaient encore pour être bien certains qu'il n'existait pas de danger et pour évacuer leur angoisse, accrue lorsqu'ils vivaient seuls dans leur logement. Ils ont évoqué un gros coup de vent, comme une gifle, un train passant dans le sous-sol, ou encore une explosion.

L'expérience a été très courte mais intense et marquera la mémoire dijonnaise. On ne fait état, heureusement, d'aucune victime et d'aucun dégât grave.

Hélène Fernel

© Copyright Le Bien Public


 

 

L'église retrouve sa vocation

 

23 septembre 2002

La municipalité de Saint-Léger-Triey avait entrepris, fin juin, des travaux de rénovation à l'intérieur de l'église. Ayant découvert des peintures du XVe siècle, ces travaux avaient été interrompus afin de mettre à l'abri ces découvertes. Maintenant tout est terminé, les peintures sont protégées et l'intérieur de l'église a retrouvé un aspect sobre et chaleureux.

l'intérieur de l'église entièrement refait (photo Geneviève Odier)

© Le Bien Public


 

 

La classe a été entièrement refaite

 

2 septembre 2002

Le conseil municipal de Saint-Léger-Triey avait décidé de refaire entièrement la classe pendant les vacances scolaires. En effet, les derniers travaux dataient de 1985, et en 1991 la municipalité avait réalisé une annexe à la classe avec un coin lecture.

M. Picci, maire, et Mme Bois, adjointe, sont satisfaits des transformations
(photo Geneviève Odier)

Début juillet, quatre bénévoles se mettaient à l'œuvre afin de permettre aux entreprises de commencer ces travaux. Ils ont décollé la moquette, enlevé le parquet pour poser un carrelage facile à nettoyer. Les élèves du regroupement pédagogique intercommunal (RPI) Montmançon / Saint-Léger-Triey vont donc retrouver un nouveau chauffage, un éclairage adapté, des couleurs gaies et leurs tables entièrement nettoyées.
En 2001, la municipalité avait investi dans l'informatique et, pour la rentrée 2002, les élèves pourront découvrir internet avec leurs institutrices.
Les escaliers ont été également refaits par les bénévoles que la mairie remercie vivement de leur dévouement pour leur village.

© Le Bien Public


 

 

Un bébé inattendu !

 

26 novembre 2001

Dimanche dernier, vers 10h 15, une naissance a eu lieu sur la commune de Saint Léger-Triey.
Jusqu'ici rien d'extraordinaire, si ce n'est que le petit Mathieu a décidé de venir au monde un peu plus tôt que prévu.

Ses parents habitent Tervay, près de Pesmes dans la Haute-Saône, avec son frère et sa sœur.
Sentant les premières contractions, la maman et le papa décidèrent de prendre la direction de la maternité de Dijon.

Le papa, étant pompier volontaire dans sa commune et voyant que la naissance se faisait de plus en plus pressante, téléphonait pour obtenir une ambulance avec couveuse (il faisait très froid ce jour là), et lui donnait rendez-vous à la gendarmerie de Pontailler-sur-Saône.
Les gendarmes présents ont accueilli un papa un peu affolé, pompiers et médecin étaient sur place en attendant l'ambulance.

Une fois celle-ci arrivée, la maman est montée dedans pour rejoindre Dijon, mais le bébé en a décidé autrement.

L'ambulance a dû s'arrêter à l'arrêt de bus de Saint Léger-Triey, sur la D 961, et les médecins ont procédé à l'accouchement.
Le petit Mathieu est né ; il pèse 2,880 kg et se porte bien ainsi que la maman et le papa.

Le maire de Saint Léger-Triey s'est dit très heureux de cette naissance car c'est la première de l'année.

© Copyright Le Bien Public


 

 

Françoise Masson : Une femme de passions

 

1er décembre 2000

Françoise Masson est née à Sochaux (Doubs) en 1952 dans une famille nombreuse.
Elle arrive à St Léger-Triey, commune du canton de Pontailler-sur-Saône, avec son mari en 1987 et ses quatre filles.
Quelques années plus tard, elle met au monde une cinquième fille ; depuis, elle est grand-mère de quatre petits garçons.
Elle est aussi assistante maternelle depuis 1996 et s'occupe de deux enfants de l'aide sociale.

BP-LD : "Quelle a été votre première passion ?"

Françoise Masson : "La cuisine. Pendant treize ans, j'ai travaillé dans des familles où j'ai pris goût à cuisiner. J'ai participé à de nombreux concours dont tous ceux de la Foire Gastronomique.
J'ai eu un premier prix en dessert avec la réalisation d'un bavarois de cassis au riesling organisé par les Cassis Boudier.
Mon premier prix, un week-end gastronomique chez Bernard Loiseau, m'a été remis par Bernard Loiseau et Pierre Bonte. C'est un merveilleux souvenir".

BP-LD : "Vous avez une deuxième passion, l'écriture ?"

Françoise Masson : "Quand je suis arrivée dans cette maison, j'ai voulu en connaître l'histoire, et petit à petit ça a pris de l'ampleur.
De fil en aiguille, j'ai fait des recherches plus approfondies, et je suis arrivée sur un personnage historique, le Général Paulin, qui a été maire de St Léger ; sa tombe est au cimetière de la commune.
L'histoire du Général Paulin m'a intéressée, et j'entretiens de très bonnes relations avec ses descendants qui habitent en Suisse. D'ailleurs, cette année, j'ai été invitée avec ma famille pour le bicentenaire du passage de Bonaparte au col du Grand-Saint-Bernard (20 mai 1800).
Le général Paulin, qui était à cette époque major, était l'aide de camp du général Bertrand qui était lui-même sous les ordres de Napoléon.
C'est ainsi que j'ai été contactée en 1998 par une association belge qui recherche et rend hommage aux maréchaux, généraux et officiers du premier empire.
Les 20 et 21 mars 1999, une manifestation s'est déroulée à St Léger, avec les autorités locales, afin de rendre hommage au général Paulin et déposer une gerbe pour célébrer ses 123 ans (il est décédé le 19 mars 1876).
La délégation belge était en costume d'époque et moi-même en cantinière".


l'église de St Léger-Triey
©www.1clic.fr

 BP-LD : "Parlez-nous de l'ouvrage que vous avez écrit sur l'histoire de St Léger-Triey"

Françoise Masson : "J'ai écrit un ouvrage sur l'histoire de St Léger-Triey, en partant de l'origine de son nom, de sa situation géographique, et son histoire est très riche en anecdotes.
J'ai d'ailleurs créé un blason, aidée dans cette tâche par M. Michel Barastier.
Il représente des chabots, pour l'amiral Chabot, la crosse pour la seigneurie, les tours représentent les trois communes, St Léger, Triey et Petit-Triey, traversées par les deux rivières la Bèze et l'Albane, puis les bois et l'agriculture.
Pour l'instant, il n'y a qu'un seul exemplaire, le mien.
La maison où j'habite a été construite avec les pierres du prieuré.
L'emblème (une croix) sur la cheminée extérieure indique qu'elle faisait partie des biens ecclésiastiques.
Mon plus grand désir est la publication de mon livre. Je sais que de plus en plus, les gens s'intéressent au patrimoine, et je pense que mon livre apportera une histoire d'un village du canton de Pontailler".

Le livre a été publié en juillet 2003

BP-LD : "Votre dernière passion, les vieux outils"

Françoise Masson : "Pour cette collection, je ne suis pas seule. Mon mari Jean-Pierre est aussi passionné que moi pour les choses anciennes, et en particulier les armes, avec des sabres, pistolets, revolvers…
Je collectionne aussi les chaussures miniatures, tout ce qui concerne l'Empire et maintenant les outils anciens.
Comme toutes ces collections commencent à prendre de la place, nous avons nettoyé, rangé et emménagé une vieille grange où chaque objet trouve sa place ; pour l'année prochaine, nous pensons organiser une journée porte ouverte pour montrer ce patrimoine à tous ceux qui sont intéressés par le passé".

C'est une vraie passion pour Mme Masson et son mari, qui parcourent brocantes et vide-greniers ; ils reçoivent également beaucoup de dons de particuliers.
D'ailleurs, si certaines personnes veulent se débarrasser de certains objets, ils peuvent téléphoner au 03.80.36.18.52.

© Copyright Le Bien Public

 

 

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