George
V est couronné roi d'Angleterre et d'Irlande, et empereur des
Indes.
Premier
cinéma parlant par M. Gaumont
L'école
publique en 1911-
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Remarquez
les sabots, les jabots et les sarraus.
derrière
: Francis Morinière / ?? / Joseph Grasset / Albert Dabin /
Jean-Baptiste Bondu / Francis Landreau / Pierre Lefort
au-dessous
: ?? / Maurice Babonneau / ?? / Jules Rousselot / Victor Perdriau /
Jean-Baptiste Grasset / Constant Sire / M.Bondu
au-dessous
: Maurice Boisdron / Maurice Brunellière / Célestin
Ragueneau / ? Béclard / Alexis Maurat / ?? / Théodore
Benéteau / Alexis Grasset
sur
le banc : ?? / ?? / Lucien Godineau / Pierre Godineau / Emmanuel
Onillon / ?? / Joseph Rousselot / ? Benéteau / Louis Frouin /
Louis Lefort / ? Durand / ?? / René Landreau
L'école
privée en 1911-
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On
reconnaît Juliette Coulonnier, née en 1901, en haut
à droite sur la photo, avec un joli ruban dans les cheveux.
Elle se mariera avec Joseph Grasset et sera la marraine de la cloche
en 1939.
En
haut, la première à gauche est Joséphine
Chupin.
Juste
devant Juliette Coulonnier, à sa gauche sur la photo, Marie
Macé.
Assises
sur le banc, les 4 premières sont : Marie-Rose Gadras, Aline
et Agnès Godineau, et Pascaline
Benéteau.
Extrait
d'un courrier adressé le 4 mars 1912 par le docteur
Morin, de Beaupréau, à M. le maire de St
Léger :
"En
réponse à votre lettre pour les cas de
rougeole à l'école des garçons, vous
voudrez bien prévenir Messieurs le sous-préfet
et l'inspecteur des écoles primaires. Dans un cas
pareil il y a quelques années à Villedieu,
l'école n'avait pas été fermée
malgré ma demande ; les enfants étaient
éliminés au fur et à mesure qu'ils
tombaient malades, et l'école fermée seulement
quelques jours pour la désinfection des salles
(
)"
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Couturières
en 1912
La
photo date d'avant la guerre 14, sans doute de 1912. On travaillait
la toile : on brodait des "jours Venise" et des
"jours-échelle" pour des draps, des nappes, des taies
d'oreiller et des mouchoirs pour les établissements
Pellaumail.
Les
premières livraisons se faisaient en voiture à
cheval.
La filature
et le magasin Pellaumail se trouvaient à l'emplacement de
l'actuelle Clinique des Mauges.
Cette
activité, avec les filatures Marais, Turpault, Gustave
Richard, Francis Bouet,
a fourni du travail pour toute la
population féminine de St Léger et des environs
jusqu'au milieu des années 30.
Elle a
décliné face à la concurrence de la toile du
Nord de la France, vendue moins chère.
Aujourd'hui
ne subsistent que les établissements Turpault à Cholet
et Mulliez au Longeron.
la
grand-mère : Alphonsine Godineau
les
femmes : Juliette Godineau / Marie Lefort, maman de Louisette Hy /
Céleste, bonne du curé Humeau / Marie Godineau / Marie
Liaigre, femme Macé / Agnès Godineau / ?? / Marie
Brin
les
petits : Lucien et Aline Godineau.
St
Léger avant la guerre 14-18
La
reconstruction du clocher en 1916
Le
dimanche 31 octobre 1915, pendant les Vêpres, la foudre tombe
sur le clocher mais personne ne s'en aperçoit. Ce n'est que
vers 5 heures que l'alerte est donnée.
"Les
pompiers de Cholet sont venus à pied avec leurs
pompes à incendie montées sur deux roues comme
une charrette à bras. Ils ont branché les
tuyaux d'aspiration sur les puits des alentours. Tout le
monde puisait mais les puits ont été
vidés. On ne pouvait arroser que ce qui tombait, le
clocher brûlait
Il
n'y avait pas d'hommes, c'était la guerre, les femmes
arrosaient
Il
sera impossible d'éteindre le feu. Tout brûlera
depuis le haut du clocher jusqu'en bas, au rez de
chaussée. Les trois cloches et l'horloge tomberont et
seront brisées.
Le
clocher fut reconstruit mais, en 1922, une nouvelle fois
l'orage tomba sur le clocher, sans mettre le feu. Le clocher
et les murs étaient lézardés. La
commune fit poser par la suite un
paratonnerre."
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Sur la
carte postale, toute l'ampleur des dégâts et les
premiers travaux de charpente.
De part et
d'autre de la chaussée où se trouve le facteur, on
remarque les décorations de la Fête-Dieu qui permettent
de dater la carte, non pas de janvier 1916, comme mentionné,
mais de juin 1916.
"On
mettait des piquets de bois peints en rouge sur lesquels on
enfilait une sorte de gaze pour y fixer des bouchons de
papier, pour faire des fleurs ! Sur le trottoir
opposé, on mettait des branches de houx qui venaient
des Bois-Lavau."
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Cette
carte, comme beaucoup d'autres, fut éditée par Mme
Jaud, veuve de guerre, à qui avait été
concédé un commerce de tabac.
Le Petit
Courrier - lundi 1er novembre 1915
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