rue des Mauges, côté impair

 

pour voir le développé de ces rues
par ici le développé

 

  

le café Perdriau en 1906 (n°9 sur le développé), avec de gauche à droite :

- Marie Perdriau, née en 1892, décédée à 17 ans
- Raymond Perdriau, né en 1903 - il a 3 ans sur la photo - décédé en 1963
- Jean-Baptiste Perdriau
- Joséphine Bondu sa femme, épousée en 1887 et décédée en 1940.
Manque Albert, leur autre fils, né en 1895 ; disparu le 26 février 1916 à Verdun et fait prisonnier de guerre ; en captivité à Mannheim et décédé le 10 novembre 1918, un jour avant l'armistice !

 

 

sur cette carte oblitérée en 1907, on remarque :

 

 

1939 : l'ancienne forge est devenue un atelier de vente et de réparation de cycles

 

 

Au coin de la rue des Dames, on voit un cheval, devant la nouvelle forge.

 

 

vers 1945 - la pompe à essence, devant le café

 

 

vers 1957 - le café-bar-tabac-essence - il y a 2 pompes maintenant

 

 

la station BP en 1962

On peut remarquer le lampadaire, la pompe dernier cri, la Frégate rutilante. Denise Delaunay, femme du forgeron, sert le carburant à Hubert Lefort.
Primitivement, la pompe à essence était installée devant l'auberge "Au Raisin de Bretagne". Henri Samson renonce rapidement à ce commerce et la pompe est transférée aux cycles Bretaudeau en 1929. Pour son installation sur le domaine public, le receveur municipal encaissera soixante francs.
En 1971, Eugène Fouillet achète murs et fonds de commerce à Mme Germaine Bretaudeau. Coïncidence : la même année, le café Landreau est acheté par Alice Bretaudeau (fonds de commerce).

 

 

vers 1973 - le café-tabac Fouillet

à gauche, Eric Fouillet

A noter l'arrêt d'autocar, qui se trouvait là à l'époque, et la devanture de l'épicerie Egé, au coin de la rue du Vieux Bourg

 

 

1907 - la graineterie Rousselot

 

 

1907 - le café Veuve Bompas (née Landreau), que l'on aperçoit près de l'église

Il deviendra café Launay.

 

 

 

 

 

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