rue des Mauges,
côté pair
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pour voir le
développé de ces rues
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au 20 rue des Mauges, en
1980
Gabriel Villeneuve et son chef d'uvre
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Né
à St Léger en 1909, il a eu, comme beaucoup de gens de
son époque, une vie laborieuse qu'il savait relater d'une
façon passionnante. Mécanicien, tourneur, fraiseur,
ajusteur, forgeron et touche à tout, il répare tout ce
qui est en panne, bicyclettes, moteurs, et tout ce qui est ferraille.
Sa passion, ce sont ses machines à battre : combien
d'étés passés à aller de ferme en ferme,
avec sa locomobile et sa batteuse, pour battre les récoltes !
Une passion qui ne l'a pas quitté puisque, arrivé
à la retraite, il a passé plus de 1500 heures à
construire une fidèle réplique de sa locomobile
à vapeur, au 1/25e, façonnant chacune des 600
pièces. Il a fait à l'époque la Une de la presse
locale. Beaucoup de Saint-Légeois se rappellent sa haute
silhouette. Alors doyen de la commune, il est
décédé en janvier 2003. Aux enfants
étonnés, il présentait ici son petit bijou qui
fonctionne à merveille, au charbon.
vers 1950 - la forge Delaunay,
6 rue des Mauges
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Activité importante pour le forgeron,
maréchal ferrant, avec les nombreux chevaux à ferrer,
les soins aux sabots des bêtes...
Ici, René Delaunay avec sa
casquette, le patron / Alexis Maurat, son prédécesseur,
avec ses lunettes (il fut maire de St Léger de 1945 à
1947), et Jean Bureau, du Plessis du May, chasse-mouches en
main
1962 - Michel Martin,
successeur de René Delaunay, ajustant un fer au sabot
du cheval
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1962 toujours
Bernard Coulonnier, employé à la forge, y fait
ici de la soudure.
Le forgeron se transforme en mécanicien
agricole.
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L'appareil appelé
"travail" permettait de ferrer seul un
cheval.
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