Directeur des fortifications de Paris. 48 ans de service, 12 campagnes, c'est lui qui à Friedland disait à Napoléon : "Sire, la journée est trop belle pour ne pas la voir finir !"

Note que le journal "L'Union Bourguignonne" avait promis d'insérer dans son journal, le 17 février 1852

Messieurs les Electeurs de l'Arrondissement de Dijon,

Le Gouvernement a prononcé le nom du candidat dont il a fait le choix pour la députation au Corps Législatif.
Dès ce moment, toute question de personne doit s'effacer en présence de l'intérêt de l'Etat, et je m'incline devant cette décision.
Mais je n'en reste pas moins dévoué à la cause NAPOLEONIENNE dans la plus grande étendue de mes forces.
Et j'en mettrai toujours à son service l'action morale que je puis avoir sur les campagnes qui m'entourent, de même qu'au besoin je lui offrirais avec ardeur le secours de mon épée.

Général Comte Jules Paulin, ce mardi 17 février 1852

"L'Union Bourguignonne" du 18 février 1852 ne peut (en raison de l'abondance des matières) "publier une lettre adressée par M. le Général Comte Paulin aux électeurs de l'arrondissement de Dijon. L'honorable général déclare renoncer à sa candidature, et n'en être pas moins dévoué à Louis-Napoléon."

le château de St Léger Triey
où décède le Général Paulin, le 19 mars 1876 

 

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Paulin, officier du génie participa à toutes les campagnes de l'Epopée de 1806 à 1815, excepté à celle de Russie. L'auteur servit comme officier d'ordonnance du Maréchal Augereau et comme aide de camp du Général Bertrand. Ainsi, il participe au siège de Gaëte (février 1806) avant de quitter l'Italie pour Berlin rejoignant le 7° corps commandé par Augereau "pour faire partie de l'état-major du génie de corps d'armée". Il participe à la campagne de Pologne, puis est envoyé en mission en Moldavie, puis à Lisbonne. Paulin est fait prisonnier 8 mois en Espagne. Il est encore là lors de la campagne d'Autriche puis de celle de 1813, avant de se retrouver engagé dans l'héroïque campagne de 1814 et de rencontrer dans le Sud de la France les troupes de l'Empereur fraîchement débarquées de l'île d'Elbe...

La présente version reprend intégralement la première édition de ces souvenirs qui parut à Paris en 1895 sous les auspices du Capitaine du génie Paulin-Ruelle, petit-neveu de l'auteur.
Librairie des Deux Empires - Paris - 337 pages

Source : Christophe Bourachot, sur le site Napoléon Ier http://ameliefr.club.fr/index.html

Jean-Baptiste Frilley naît à Saint Léger le 21 juin 1794. Il entre dans la grande armée et participe aux dernières campagnes de l'Empire : campagne de Russie (1812), campagne d'Allemagne (1813), campagnes de France (1814) et de Belgique (1815), ainsi qu'aux batailles de Smolensk, Moskouva (passage de la Bérézina), Bautzen, Dresde, Leipzig, Saint Dizier, Brienne, Montereau, Ligny et Waterloo le18 juin 1815. Médaillé de Sainte-Hélène, il touchait à ce titre une pension annuelle de 250 francs. Côte-d'Or - Conseil général - Rapports et délibérations séance du 23 août 1872 - http://gallica.bnf.fr Il décède à Saint Léger Triey le 15 mai 1891, à l'âge vénérable de 97 ans. Ses funérailles déplacent une foule nombreuse. Il fut inhumé au cimetière communal mais sa sépulture, toujours visible et entretenue par la commune en 1929, n'est plus là.    le cimetière communal

acte de décès de Jean-Baptiste Frilley il est précisé 1793 pour sa naissance, ce qui est faux : le 3 messidor an II = le 21 juin 1794 www.archives.cotedor.fr   de son côté, le site des médaillés de Ste-Hélène stehelene.org indique FRILLEY Jean-Baptiste - naissance : 21/06/1794 - commune de résidence : Saint Léger (Côte d'Or) divers : source perso : jflebret - Derniers soldats de Napoléon de Gustave SCHLUMBERGER / + en 1891 à St Léger (Côte d'Or)

 

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erci de fermer l'agrandissement sinon.

https://www.stleger.info