Dans
le parc naturel régional du Morvan, la commune de
Champeau-en-Morvan, distante de 5 km de Saulieu, à 500 m du
département de la Nièvre, est située en
Bourgogne, dans le département de la Côte d'Or, le
canton de Saulieu, l'arrondissement de Montbard. Les habitants
s'appellent les Champeliens et les Champeliennes.
Sa population,
après avoir progressé jusqu'en 1851 avec plus de 1150
habitants, a été en régression jusqu'en 1999
:
|
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1841
|
994
|
1876
|
1029
|
1911
|
829
|
1962
|
416
|
1793
|
836
|
1846
|
1066
|
1881
|
959
|
1921
|
702
|
1968
|
318
|
1800
|
798
|
1851
|
1159
|
1886
|
969
|
1926
|
616
|
1975
|
305
|
1806
|
832
|
1856
|
1063
|
1891
|
976
|
1931
|
610
|
1982
|
276
|
1821
|
825
|
1861
|
1069
|
1896
|
950
|
1936
|
580
|
1990
|
280
|
1831
|
825
|
1866
|
1050
|
1901
|
888
|
1946
|
536
|
1999
|
237
|
1836
|
871
|
1872
|
1071
|
1906
|
866
|
1954
|
430
|
2007
|
251
|
Son terrain est
marécageux. C'est un pays rude, c'est le Morvan (du celte mar
= noir et vand =montagne) ; des étangs et des lacs qui
marquent profondément le paysage tout en variété
et qui vit sous le double signe de l'eau et du bois. La commune
dispose de 3470 hectares, dont 102 d'étangs.
istoire
peu ordinaire que celle de cette commune dont le "chef-lieu", ainsi
que le nomme l'abbé Baudiau, était St Léger de
Fourches. Un "chef-lieu" composé de cinq ou six habitations
groupées autour de l'église et du château,
situé dans une vallée humide, qui en rend le
séjour insalubre. Peut-être le doit-on au fait que,
depuis le début du XIXe siècle, les eaux ont
été domestiquées. L'abbé Baudiau signale
six étangs qui, à son époque, étaient
asséchés, ce qui devait se traduire par un
épanchement quelque peu anarchique des eaux qu'ils
étaient à l'origine chargés de
contenir.
Moulin-Morin -
pont de pierre sur le Cousin
a
commune tient son nom pour la première partie de son saint
patron Léger, évêque d'Autun, pour la seconde du
hameau de Fourches qui prit le nom de l'endroit où les
évêques d'Autun avaient fait placer les "fourches
patibulaires" c'est-à-dire les potences, pour la punition des
criminels. C'était le signe le plus incontestable de la haute
et totale justice. Ces instruments de supplice se dressaient aux
limites extrêmes du domaine seigneurial sur un lieu de passage
si possible élevé, pour être vu de loin, ceci
à titre dissuasif. Leur implantation servit par la suite
à fixer les limites des villages.
Selon Edmond
Jantet, le gibet seigneurial ne devait pas être une simple
potence, mais une construction importante composée de
plusieurs piliers en bon bois de chêne. Il s'agissait d'un des
fondements de la puissance féodale, de l'instrument qui
retenait le peuple dans la crainte et le respect et empêchait
la révolte qu'une trop grande inégalité des
conditions et de trop nombreux actes d'injustice et d'arbitraire
auraient pu inspirer.
La justice se décomptait en piliers. On
reconnaissait le rang hiérarchique du seigneur par le nombre
de piliers qui soutenaient la potence et pouvait aller de un à
cinq. De combien de piliers disposait l'évêque d'Autun ?
Ces prélats
étaient : les comte de Saulieu, barons de Lucenay, d'Issy
l'Evêque, de Touillon et seigneur de St Léger et
d'autres lieux, d'où relèvent nombre de fiefs pour
lesquels les ducs, mêmes de Bourgogne, avant la réunion
du duché à la couronne, prêtaient foi et hommage.
Ils prenaient également le titre de présidents
nés et perpétuels des Etats de Bourgogne. Ils avaient
également le droit de faire battre monnaie.
e
noir Morvan, échappée granitique du Massif Central, est
une région dont on ignore l'origine mais qui était
connue dès les premiers siècles. Clovis, au
début du VIe, enclave dans l'empire des Francs le Morvennus
Pagus. On voit dans l'histoire d'Auxerre que St Amateur traversa le
Morvan en allant à Autun et qu'il s'arrêta à
Gubilium, qui était certainement Gouloux, annexe de St
Brisson. Le moine Héric, au IXe siècle, biographe de St
Germain d'Auxerre, dépeint cette région comme
"sauvage, montueuse et couverte de forêts". Fortunat
l'appelle le pays des ours.
Elle fut
habitée tout d'abord par le chasseur vivant de son gibier.
Celui-ci émigra avec les gros animaux qu'il chassait quand
vint la période froide et alla s'abriter dans les grottes. Ses
successeurs commencèrent la culture et l'élevage. La
vie sociale se constitua et des enceintes néolithiques
apparurent. Peut-être faut-il attribuer à cette
époque les monuments mégalithiques offrant un
caractère précis. Ces lieux étaient
sacrés aux yeux des Gaulois dont les druides venaient
célébrer leurs solennités auprès des
pierres. Sans doute y invoquaient-ils Cernunnos, dieu de la
fécondité terrienne. Ces dolmens ou tables de sacrifice
auraient rougi du sang des victimes offertes en offrandes à
Teutatès, à Taran ou Bellenus, et autres
divinités gauloises.
Malgré la destruction qu'en firent les chrétiens dans
la ferveur religieuse des premiers siècles, le Morvan
possède encore un certain nombre de ces monuments
antéceltiques. Ces monuments, les plus anciens du pays,
étaient appelés récemment encore monuments
celtiques ou druidiques. D'après une opinion
généralement admise aujourd'hui, ils auraient
été élevés par des tribus
antérieures aux celtes.
Quel peuple dressa et
consolida à force de bras le "Dolmen des Garennes" et le
"Menhir de la Pierre des Anges", ces gigantesques pierres informes,
à proximité des sources, à l'ombre des
forêts qui couvraient alors presque tout le sol actuel
?
dolmen
des Garennes
|
menhir de
la Pierre des Anges
|
aint
Léger de Fourches, cette ancienne paroisse dont on trouve la
trace depuis plus de 1000 ans, très mal protégée
à cause de sa grande étendue, a été
plusieurs fois dévastée et, par malchance, la maladie a
joint ses attaques à celles des pillards.
L'occupation humaine
y est fort ancienne car elle est attestée par la
découverte de vestiges celtiques et gallo-romains
retrouvés lors de fouilles notamment à proximité
du "Dolmen des Garennes". Des fossés de défense gaulois
sont encore visibles dans le bois. Vestiges également à
Fourches où on remarquait un amoncellement de blocs de rochers
que l'on disait être les débris d'un monument celtique.
A peu de distance ont été découverts des
débris romains tels que tuiles à rebords, briques,
médailles
ainsi qu'à Montabon et Matafroy, dans
les montagnes, où l'on a trouvé vers 1840 des tombeaux
en grès.
Une route romaine allait de St Léger à Alligny, et un
corps de garde se trouvait dans un des prés de la famille
Roulot de la ferme "des Chênes", ex-pré du
Château. Des fouilles ont été faites au XIXe
siècle et ont permis de trouver quelques monnaies romaines. Ce
petit camp était alimenté par la "Fontaine Gubin". Les
anciennes canalisations ont été rompues lors de la
construction du "tacot". Il y a une vingtaine d'année, un
nouveau captage a été réalisé et permet
aux promeneurs de boire une eau parfaitement pure, tant du point de
vue chimique que bactériologique. Un autre chemin allait de
Saulieu à Brassy, par St Brisson. Après Saulieu, il
gagnait Montabon et se dirigeait sur St Brisson.
St
Léger, siège de la paroisse et de la commune, a
été absorbé par un de ses hameaux :
Champeau.
Une vieille rivalité existait entre ledit "chef-lieu" de St
Léger de Fourches et un de ses hameaux, Champeau,
qui faisait envisager en février 1909 la création de
deux communes. Etant donné l'état d'animosité
qui existait entre les habitants et conseillers des deux
communautés, on demanda à l'administration
préfectorale de prendre des mesures d'apaisement.
St Léger de
Fourches - vue générale
u
cours de la séance du conseil municipal du 21
février 1909, le maire invite le conseil à
délibérer sur la question du transfèrement du
"chef-lieu" de la commune de St Léger à Champeau.
Il expose :
- Qu'il est
inadmissible que dans une commune de 900 habitants, les 4/5 au
moins des administrés soient obligés de converger
vers un point extrême de la limite du territoire pour leurs
affaires à la mairie,
- Que vu le
petit nombre d'habitants des hameaux attenant au bourg de St
Léger, il y a toutes présomptions pour que jamais le
maire n'appartienne à ces hameaux,
- Qu'il y a 4
kilomètres de Champeau à St Léger et que le
maire, qui sera toujours donné par la section de Champeau,
n'est absolument pas placé pour répondre des
archives et en assurer la bonne conservation. La
célérité du travail de mairie et sa bonne
exécution en souffrent forcément,
- Qu'au point de
vue de la population scolaire, il y a plus de 100
élèves à Champeau et une quarantaine
seulement à St Léger,
- Que jadis il
était acceptable que la mairie fût au hameau de St
Léger : des écarts très importants
(Fétigny, les Hâtes, La Serrée, Island, soit
500 habitants au moins) ont été distraits de St
Léger pour être annexés aux communes voisines,
d'où il résulte qu'après ce retrait le chef
lieu de St Léger est resté pendu à
l'extrémité de son territoire,
- Que tout a
été dit de St Léger et de Champeau lorsqu'en
1891 pareille question fut agitée. Aucun fait nouveau n'est
venu changer la situation, sauf le passage à St
Léger d'une voie de tramway. La compagnie de ce tramway
convaincue qu'une gare n'y ferait aucun trafic a toujours
refusé d'en établir une.
Et pourtant, la
station, on le verra,avait été inaugurée en 1903
!
- Qu'en
consultant le dossier de 1891, on constate aisément que le
seul parti pris, aidé de complaisances, a guidé les
décisions. Tout le monde sait que la cause de St
Léger était soutenue par des influences occultes et
qu'on a dénaturé la
vérité,
- Que le Conseil
d'Etat, auprès duquel la Section de Champeau n'a pas
été représentée lors de la discussion
de son cas, n'a rien jugé. Il a, suivant tout son droit,
émis un avis : il s'est borné à dire que le
dépôt des archives à Champeau n'était
pas régulier. Rien de plus. Ceci n'a jamais voulu dire
que la situation ne devait pas être
légalisée.
Il faut
reconnaître cependant que Champeau méritait un peu le
sort qui lui est échu : les habitants n'ont pas compris le
rôle du commissaire enquêteur et, pendant que tout St
Léger défilait protester [79 signatures}, les
électeurs de Champeau [198 abstentions], confiants
dans leur bon droit et la représentation de leurs huit
conseillers, n'ont pas bougé, à part 29 signataires,
plutôt favorables qu'équivoques et d'ailleurs
terrorisés par la perspective de la nécessité de
"construction d'une église de 150 000 francs" qui aurait,
suivant certains dires, amené la vente des pâtis
communaux ; on chercherait en vain sur le cahier d'enquête, un
seul nom de conseiller municipal ou d'un promoteur de la demande du
maintien des archives à Champeau.
- Que la
religion des pouvoirs, auxquels l'affaire a été
soumise, a donc été mal éclairée et
induite en erreur. On a bien voulu assimiler à une
complète indifférence toutes les abstentions. Il
n'en était assurément rien puisque les
abstentionnistes se croyaient suffisamment
représentés par leurs conseillers et que, d'autre
part, ils ne voyaient le cahier d'enquête qu'ouvert aux
seuls protestataires pour St Léger.
Une révision s'impose donc. Que le hameau de St
Léger revendique le droit d'antiquité pour
l'emplacement de son église et son presbytère, soit
! Mais Champeau désire voir cesser l'iniquité qui
oblige la commune à conserver une mairie très mal
placée, sous le principal et unique prétexte qu'elle
se trouve et qu'elle a toujours été près de
l'église.
Conclusions : Pour
tous ces motifs, le conseil municipal demande instamment à
Monsieur le Préfet, armé de l'art.3 de la loi du 5
avril 1884, de bien vouloir faire ouvrir une révision
d'enquête à l'effet de transférer le chef-lieu de
St Léger à Champeau. Ce sera justice.
Les conseillers,
représentants de la Section de Champeau, ne voient pas
l'utilité des commissions syndicales, qui, dans la
circonstance, font double emploi, puisque la Section de St
Léger est régulièrement
représentée par ses conseillers. Ils reconnaissent que
l'avis de ces commissions tirées de la Section de St
Léger sera forcément hostile au projet de transfert et
donnent acte à l'administration supérieure de pouvoir
considérer cet avis comme défavorable. Ils prient
Monsieur le Préfet de désigner au plus tôt un
commissaire enquêteur.
e
16 mars 1909, au cours de la réunion du conseil
municipal, le citoyen Descloix Jean, conseiller municipal, expose au
conseil qu'il serait tenu de ramener au centre de la commune,
à Champeau, les archives qui ne sont plus à leur place
ni en sécurité à St Léger. Le Conseil
Municipal :
- Considérant
que c'est grâce à un abus de tradition que les
archives sont encore à St Léger,
- Considérant
que si l'un des 4 conseillers de St Léger a un peu plus de
2 km à parcourir pour venir à la mairie, les 3
autres n'ont que quelques centaines de mètres à
faire,
- Considérant
que le plus favorisé de la Section de Champeau en est
situé à 4 km et les autres à 5 et
6,
- Considérant
que les archives ne sont pas en sécurité à St
Léger et se trouvent trop éloignées du maire
qui ne peut les garantir d'un sabotage possible,
Pour ces
raisons,
Demande à Monsieur le Préfet de bien vouloir autoriser
le transfert provisoire de la mairie et des archives à
Champeau dans le local qu'elles ont occupé pendant 14
ans.
L'intervention
musclée de membres des familles Puech et Cordin entre autres,
de Champeau, familles influentes et anticléricales militantes,
déménagea en force les archives municipales ainsi que
les "papiers" et tampons de la mairie de St Léger à
Champeau, qui deviendra à son tour le "chef-lieu". Le
déménagement se fit au moyen de charrettes
tirées par des bufs. Au dire des anciens, des papiers se
dispersèrent au gré du vent.
La négation de
la religion et l'iconoclasme d'alors leur firent démolir
à la masse toutes les croix et calvaires en pierre de la
commune, dont certains étaient forts anciens. Pour St
Léger, seule la croix se trouvant à proximité du
château de St Léger a été
épargnée, M. de Gouvenain s'engageant à la faire
démonter à ses frais. La proposition fut
acceptée mais à la condition que le Christ tourne
ensuite le dos au village, ce qui fut fait. Elle se trouve
aujourd'hui dans le parc du château. Les anciens du village ont
entendu dire que 4 paires de bufs avaient été
nécessaires pour monter le calvaire dans le parc et que, huit
jours plus tard, deux de ces malheureuses bêtes étaient
mortes mystérieusement. Pour Champeau, la croix se trouvant
à la pointe de la maison Cordin, en face de l'ancienne
école de filles, est restée en place. Pourquoi
?
croix de mission
de 1860 sauvée de la destruction
uelques
années plus tard, certaines croix et calvaires détruits
seront remplacés par des croix en bois ou en fer. Cette vague
anticléricale conforta la décision du Conseil d'Etat
pour la ratification du changement de nom et de lieu du siège
de la commune.
Le décret promulgué le 13 février 1911,
signé A. Fallières, dit :
"Le Président de la République Française,
Vu les délibérations du conseil municipal de St
Léger de Fourches en date du 21 février et 15 juin
1909,
la délibération du Conseil d'Arrondissement de Semur en
date du 4 août 1910,
la délibération du Conseil Général en
date du 27 août 1910,
l'avis de la Commission Syndicale en date du 1er octobre 1909,
la lettre du Ministre des Travaux Publics, des Postes et
Télégraphes,
l'avis du Préfet et les autres pièces de l'affaire,
la loi du 5 avril 1884, articles 2 et 3,
la Section de l'intérieur, des Cultes, de l'Instruction
Publique et des Beaux Arts, du Conseil d'Etat entendues,
Décrète :
Art 1er : Le chef-lieu de la commune de St Léger de Fourches,
canton de Saulieu, arrondissement de Semur, département de la
Côte d'Or, est transféré au hameau de
Champeau.
Art 2 : La même commune portera à l'avenir le nom de
Champeau.
Art 3 : Le Ministre de l'intérieur est chargé de
l'exécution du présent décret ".
La notification, signée par le secrétaire
général de la Préfecture pour le Préfet,
est adressée à la mairie de Champeau le 21
février 1911 et reçue le 23. La commune était
divisée en "Sections" avec ses délégués
et conseillers municipaux élus au prorata du nombre
d'habitants.
n
1975, la population est consultée et la commune
réunifiée. M. Alexis Cordin en était le maire.
Ce qui est maintenant "le bourg" tient son nom de l'endroit ou l'on
"menait les vaches aux champs", du verbe "champoyer".
C'est un nom fort répandu et très ancien. On compte une
dizaine de communes en France et sans doute beaucoup plus de hameaux
ou de lieux-dits. C'est pourquoi le nom a été
modifié par un décret publié au journal officiel
le 13 août 1992 pour renforcer son identité en
"Champeau-en-Morvan", ceci afin d'éviter la confusion
avec les autres Champeau.
Cette vaste commune,
située à l'extrémité de l'arrière
vallée du Crousevaux, affluent de l'Arroux, noyée dans
la verdure, se dévoile comme une mosaïque de plans d'eau,
aux belles forêts profondes, ponctuées de prairies
où paissent les vaches charolaises.
une belle
charolaise, à Lavault
Ces "pâtures"
sont séparées par des haies vives, où pousse le
houx et embaume le chèvrefeuille, ou des "murées" de
pierres sèches.
'est
une commune à l'habitat très dispersé puisque
l'on ne compte pas moins de 29 hameaux et écarts. Son
altitude varie entre 494 et 683 m. Le point culminant se situe au
signal de Montabon et place la commune dans le bas Morvan.
La métairie des Bois Gauchat et la Croix de la Serrée
séparent la Bourgogne du Nivernais ainsi que la paroisse de St
Léger de celle de St Brisson.
Le village se trouve sur la ligne de partage des eaux : l'un de ses
ruisseaux (le Ternin) termine sa course dans le bassin de la Loire,
un autre (le Cousin) dans celui de la Seine.
Sa flore naturelle est très riche et exceptionnelle. De
nombreuses variétés protégées et des
espèces très rares en Côte d'Or et même en
France y poussent, notamment plusieurs espèces
d'orchidées.
Au dessus d'Eschamps, une fontaine (intermittente) coulait et
tarissait par intervalles réguliers. Existe-t-elle encore ?
Où coule-t-elle ? Un peu plus loin, au nord, des ammonites de
belles dimensions furent trouvées.
Une source d'eau chaude se trouvait au-dessus de la ferme de la
"Coulonnerie". Coule-t-elle encore ?
1
|
présentation
de la
commune
|
|
2
|
agriculture,
commerces, industries -
les
monuments
|
|
3
|
de
la fin du XIXe au milieu
du XXe
siècle
|
|
4
|
hydrographie
- les moulins et les
foulons
|
|
5
|
les
familles et leurs
métiers, avant la
Révolution
|
|
6
|
hameaux
et lieux-dits - les
fiefs de la
paroisse
|
|
|
|
|
|
Merci
de fermer l'agrandissement sinon.
https://www.stleger.info